Alkopharm toujours au point mort à Blois
le 28 août 2012 à 15h54
La quarantaine de salariés du laboratoire pharmaceutique blésois Alkopharm sont revenus le 20 août à leur poste… mais ont quitté les locaux quelques jours plus tard, l’ANSM (ex-Afssaps), n’ayant pas autorisé l’usine à reprendre la production. « Le site quimpérois du groupe devrait acheminer de la charge en conditionnement, mais celle-ci n’occupera que 4 à 5 salariés à temps plein pendant quelques semaines », précise le délégué syndical CFDT breton. Sur le site de Quimper (29), une ex-usine Girex-Mazal où l’atelier de chimie (Alkochym) est toujours à l’arrêt faute de matières premières, les salariés sont désormais en conflit ouvert avec leur président Alain Bouaziz qui a présenté le 25 juillet un projet de licenciement portant sur 22 salariés, répartis dans les quatre entités de l’entreprise (environ 90 collaborateurs au total).
Affaires publiques
Exfiltré ?
David Jacquet, qui avait chipé en 2020 la mairie d’Artenay…
Déchéance
Il aura tout connu. Polytechnicien, énarque, directeur…
Passagers clandestins
Il n’est pas content Serge Grouard. Le maire d’Orléans…
Décès d’Olivier de Brabois
Nous avons appris hier le brusque décès d’Olivier de…
Dans l’arène
La crise agricole a projeté Marc Fesneau dans l’arène,…