Mercura, racheté par le suédois Binar, pousse les feux
le 15 septembre 2014 à 17h13
Déstabilisé par les ennuis de santé de son principal actionnaire et dirigeant Jean Echaniz, le fabricant de signalisations lumineuses embarquées blésois Mercura (58 salariés, 14,7 M€ de CA) a traversé une période compliquée. Il a fini par être racheté en février dernier par le groupe suédois Binar (45 M€, 280 salariés), via sa filiale française Standby, un autre acteur du marché des signalisations lumineuses et sonores pour les véhicules de service. Dépendant quasi essentiellement de la commande publique, Mercura a été fortement impacté par la réduction progressive des budgets. « C’est une évidence, le chiffre d’affaires va reculer cette année d’au moins 10 %. La plupart de nos clients, Sdis, Samu, collectivités locales, ministères et carrossiers ont réduit leurs achats », prévient Denis Lahoreau, le nouveau directeur général (ci-contre). Relance de la R&D, meilleure structuration de l’approche commerciale régionale, embauche d’un commercial export, Mercura se met en ordre de marche pour saisir toutes les opportunités. « Nous répondons actuellement à un très important appel d’offres (2,5 M€) de l’Ugap, nous confie Denis Lahoreau. En cas de succès, nous serions amenés à créer une seconde équipe (2x8) à Blois ».
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